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Chroniques

by Bleu éther

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v a l e n t i n — s i t u
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v a l e n t i n — s i t u Ne me parle pas... de ce long couloir d'envolée lyrique, de cet œil, d'ailleurs, qui ne regarde pas qu'en arrière tout en sachant qu'il manque à quelqu'un. Ce regard, perdu dans les histoires que l'on se raconte, que l'on raconte, ce regard qui raconte, mais qui ne parle pas. Mais qui à moi, me parle. Favorite track: Ne me parle pas.
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1.
2.
Terminator 05:46
3.
4.
Couloir 08:59
5.
Le manque 08:26

about

2ème Prix national et Prix Radio Alpa Le Mans: Tremplin National Spoken Word Festival Le Mans Cité Chansons 2015.

« Créé à l’été 2012, Bleu éther est un groupe palois qui se retrouve avec autant de naturel dans les festivals de musique et dans les festivals de poésie, chacun des publics trouvant à chaque fois matière à se régaler dans ce que proposent Nicolas Vargas aux voix, Nicolas Hunold à la guitare et Sébastien Tillous à la batterie occasionnellement épaulés par Jésus Aured à l’accordéon et Claire Menguy au violoncelle.
A la juste croisée des chemins entre le slam et le rock, Bleu éther n’y va pas avec le dos de la cuillère et n’hésite pas à bousculer toutes les conventions artistiques établies, sans aucune exception, pour en arriver à une création qui bouscule l’auditeur sans aucun ménagement mais qui lui donne en même temps suffisamment de signaux forts pour le convaincre de rester jusqu’à la fin, quand bien même il devine déjà que les choses ne vont pas manquer de se révéler au mieux burlesques, au pire violentes. Résister pour le simple fait de résister n’aurait du coup aucun intérêt et c’est presque spontanément qu’on entre dans un ouvrage hybride, une de ces tartines atypiques qui attirent le chaland avec autant de force qu’elles le repoussent, lui faisant subir des changements perpétuels de ton, de rythme, d’intonation même, et lui donnant finalement en pâture des morceaux torturés et épiques comme « L’œil d’ailleurs », « Couloir » ou « Le manque » après un départ dédié à des choses plus directes, plus faciles d’accès, comme peuvent l’être « Ne me parle pas » ou « Terminator ».
Entre métal lyrique et rap intello, Bleu éther a choisi de laisser tous les styles sur le bord de la route et de s’en inventer un qui n’appartiendrait qu’à lui, un pari peut être un peu osé mais tellement réalisé avec brio que l’on ne peut que saluer le résultat ! »
- Critique par Fred Delforge sur Zicazic -

"D’abord un Couloir. C’est d’abord ça COULOIR, un long élan verbal où les mots tentent de se laisser lisser la voix. Car les mots ici prennent la parole. Ils la cherchent, et petit à petit finissent par la trouver.
"La charogne, les fourmis, et de l’autre côté de la terre : pareil!"
Poésie circulaire qui a choisi de parcourir le corps. Intérieur-extérieur. La peau est ou devient une frontière comme dans Beckett.
Juste après Terminator, la main dans Le Bal des Perdus vise la route. Elle tire les cheveux de la caisse du barman pour un autre commerce. Autre chose qui arrive des mots usuels, du discours pauvre et convenu qui ici est transfiguré. On commande la note, on se demande comment finir la soirée, où aller: c’est de tout un devenir existentiel dont il est question. De manière toujours énergétique et corporelle".
- Critique par Didier Bourda, organisateur du festival Poésie dans les chais (64) -

"Nicolas Vargas C. en ses oeuvres : magnifique "Bleu Ether" (où rock et poésie s'épousent sombrement) à écouter d'urgence"
- Revue Dissonances -

credits

released June 1, 2014

- Lyrics: Nicolas Vargas C
- Guitar: Nicolas Hunold
- Drums: Sébastien Tillous
- Accordion: Jésus Aured

- Recorded by Stefan Krieger à Amanita Studio Anglet (64)
- Mixed by Serge Gaston
- Mastered by Patrice Cazals
- Artwork by Daniel Afonso

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Bleu éther France

On trouve à la base la poésie circulaire de Nicolas Vargas (Voix) sur les nappes magnétiques de Nicolas Hunold (Guitare). Ces deux-là sont régulièrement accompagnés par Sébastien Tillous (batterie).

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